Des questions qu’on aurait préféré de pas avoir à se poser après la manifestation contre l’aéroport Notre-Dame-des-Landes

J’étais, comme des dizaines de milliers d’autres, présent samedi à Nantes pour marquer mon opposition à ce projet nuisible de construction d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Sur le moment, j’ai été plutôt surpris de la façon dont les choses se déroulaient et fort étonné ensuite de la façon dont la communication était orchestrée. Nous sommes un certain nombre à avoir ensuite échangé nos impressions, et la lettre ouverte que vient d’adresser Françoise Verchère, conseillère générale de Loire-Atlantique, au ministre de l’Intérieur traduit bien les questions que nous sommes hélas amenés à nous poser. C’est pourquoi je la reproduis ci-dessous :

Monsieur le Ministre de l’Intérieur, 

Je vous ai entendu commenter dès samedi soir les événements en marge de la manifestation contre l’aéroport de Notre Dame des Landes et vos propos appellent de ma part quelques réactions et aussi plusieurs questions. 

Sur les chiffres d’abord : vous avez parlé de 1000 casseurs et de 20 000 manifestants dont vous avez dit qu’il fallait les différencier des premiers. Je crois décidément que vos services ont un problème avec le calcul car nous étions beaucoup plus de manifestants et il y avait beaucoup moins de casseurs : disons qu’on pourrait diviser le premier chiffre et multiplier le second par deux au moins pour approcher de la vérité. Mais dans cette affaire d’aéroport, la vérité est décidément malmenée depuis longtemps… 

Sur les fameux casseurs : je vous avoue que j’ai été très surprise de comprendre que vos services les connaissaient visiblement bien (vous avez donné des précisions sur leur origine, leur positionnement politique) et même qu’ils savaient ce qui allait se passer. Depuis deux jours, les bruits couraient sur des incidents à venir ; les avocats savaient qu’ils risquaient d’être réquisitionnés pour de nombreuses gardes à vue. Samedi matin, au moment où nous étions avec les tracteurs à l’aéroport de Nantes-Atlantique, les policiers présents nous ont spontanément parlé des « blacks blocs », en nous disant « qu’ils allaient gâcher notre manifestation ». 

Je m’étonne donc que « les forces de l’ordre » n’aient pas été au fond plus efficaces puisque cela aurait dû être leur mission, n’est-ce pas ? Puisque l’on sait désormais interdire un spectacle avant même qu’il n’ait lieu, et puisque nous n’avons pas sur la ZAD 1000 casseurs ni blacks blocs, pourquoi ne les avez-vous pas fait arrêter avant leur arrivée ? J’imagine que s’ils sont si dangereux, vous avez certainement des preuves et même des faits graves à leur reprocher ? 

Mais peut-être préfériez-vous les arrêter en flagrant délit ? Est-ce pour cela que vous n’avez pas fait protéger l’agence Vinci, située au tout début du parcours de la manifestation, pas plus que des engins de chantier Vinci aussi (car Vinci est partout vous le savez, immobilier, parkings, aéroports…) dont vous saviez qu’ils seraient forcément des cibles ? Est-ce pour cela que la Préfecture n’a autorisé qu’un parcours ridiculement petit, jamais vu jusque là ? Est-ce pour cela que les échauffourées localisées dans un périmètre pourtant restreint ont duré plusieurs heures ? Et au bout du compte combien y a-t-il eu d’interpellations ? Une douzaine seulement…C’est assez curieux et à vrai dire difficilement compréhensible alors que les moyens déployés étaient impressionnants, en hommes et en matériel anti-émeute, alors que la fermeture du centre ville était inédite, alors qu’il y avait vraisemblablement des hommes à vous des deux côtés. 

Évidemment les images de « la guérilla urbaine » dont vous avez parlé seront reprises à l’envi plus que celles du char-triton, des 520 tracteurs présents ou des nombreuses familles manifestant paisiblement. Évidemment, cela permettra d’occulter une fois encore le fond du dossier, évidemment le choeur des partisans de l’aéroport poussera des cris horrifiés en rejetant la responsabilité sur les organisateurs de la manifestation. 

Organisateurs qui ont pourtant tenté d’éviter l’affrontement en interposant des tracteurs entre l’imposant mur de fer érigé et ceux qui voulaient effectivement en découdre. 

Organisateurs dont le métier n’est pas d’assurer l’ordre, vous en conviendrez et à qui il serait malvenu de demander de faire mieux que vous… Organisateurs particulièrement choqués, en tout cas, par les propos du Préfet de Loire-Atlantique qui n’a pas hésité à affirmer que nous « opposants historiques » devions cesser « d’être la vitrine légale d’un mouvement armé ». Je me suis pincée pour y croire…encore un peu de temps et nous finirons nous-mêmes par être tenus pour de dangereux terroristes alors que nous avons participé loyalement au débat public, et à toutes les commissions mises en place. Débat déloyal puisqu’il y a une « vérité officielle » intangible même quand elle est contraire aux faits, aux chiffres et à la réalité. Le Premier Ministre ne reconnaît la validité que de la commission du dialogue à qui il avait donné mission de valider à nouveau le projet, mais refuse de regarder les conclusions accablantes de la commission des experts scientifiques au regard de la loi sur l’eau. Comment croire encore à la parole de l’État ? 

En réalité, Monsieur le Ministre, tout cela est très lisible et vieux comme le pouvoir. 

Pour discréditer notre combat, et tenter de retourner l’opinion publique qui nous est aujourd’hui favorable, on fera appel à la peur du désordre, on utilisera l’image, déplorable je vous l’accorde, des dégradations commises par les méchants casseurs et on justifiera ainsi une nouvelle opération policière pour aller enfin nettoyer la ZAD de ses « délinquants dangereux », en même temps que de ses tritons et de ses paysans. Il faudra mettre les moyens (ils sont mille, ne l’oublions pas, et les tritons innombrables…) mais vous y êtes peut-être prêts pour que « force reste à la loi »? Permettez-moi de vous le déconseiller car pour que nous, citoyens, acceptions désormais cette clef de voûte théorique de la société, (« la seule violence légitime est celle de l’État »), il faudrait que l’État soit irréprochable, que la loi soit juste et que ses représentants soient dignes du mandat que nous leur avons confié. Vous avez compris, je pense, que ce n’est pas le cas depuis longtemps. 

Depuis deux jours, j’ai lu et entendu que le centre ville de Nantes était « saccagé », qu’un commissariat avait été « dévasté », qu’il faudrait du temps pour « panser les plaies de la ville », que les dégâts ne pouvaient pas encore être chiffrés, autant dire que c’était l’apocalypse. Les mots eux-mêmes sont visiblement sens dessus dessous… Puis-je vous suggérer de venir à Nantes pour juger de la situation ? Aujourd’hui dimanche, flottait certes une petite odeur de gaz lacrymogène, mais le tramway roulait et les nantais flânaient. Je ne nie pas les poubelles brûlées, les pavés arrachés, les vitrines brisées et les murs maculés dans le secteur des affrontements. Je déplore ce vandalisme d’autant plus que nous dénonçons par ailleurs le gaspillage d’argent public qu’induirait le transfert de l’aéroport ! 

Mais je voudrais aussi vous rappeler que samedi des personnes âgées, des enfants ont été noyées sous les lacrymogènes. Et qu’un jeune manifestant a perdu un oeil à cause d’un éclat de grenade assourdissante. Ce n’était pas un casseur. Et cela nous rappelle le même malheur survenu déjà à Nantes, à cause d’un tir tendu de flash ball lors d’une manifestation sans violence devant le Rectorat. Les aubettes seront reconstruites, cela fera même monter le P.I.B mais ce jeune restera, lui, marqué à jamais. Cela m’interroge sur la manière dont les forces de l’ordre utilisent leurs armes et me scandalise davantage que la casse matérielle. Et demain, si le gouvernement persistait dans son projet d’aéroport, la destruction du bocage de Notre Dame des Landes et de la vie qu’il abrite serait elle aussi irréversible. 

Il faut arrêter un projet désormais dans l’impasse et régler le problème en prenant la seule décision raisonnable : respecter la loi sur l’eau, améliorer l’aéroport de Nantes-Atlantique et rendre sa sérénité à Notre Dame des Landes pour que la ZAD redevienne une campagne où vivre et travailler. Vous pourrez ainsi, Monsieur le Ministre, vous consacrer aux blacks blocs si vous le jugez indispensable. 

Dans l’espoir de votre réponse, je vous assure de mes salutations les plus distinguées, 

Françoise Verchère, 
Conseillère générale de Loire-Atlantique

La France ne doit pas freiner l’initiative européenne de taxation des transactions financières

Le 19 février, la France et l’Allemagne doivent rendre publique leur position commune au sujet de la Taxe sur les transactions financières (TFF, plus connue sous le nom de « taxe Tobin »). C’est la concrétisation de l’initiative qu’avait prise la France, par la voix de François Hollande, lors du conseil européen de juin 2012.

Or, depuis quelques mois, le lobby financier a lancé une offensive contre ce projet. Si cette offensive n’a pour l’instant pas ébranlé la Commission européenne, il semble que le ministre des Finances Pierre Moscovici et le gouverneur de la Banque de France soient très sensibles à ces pressions.

Il n’est pourtant plus à démontrer la nocivicité des opérations purement financières sur la santé de l’économie réelle. Cette taxe contribuerait à les réduire et son produit (34 milliards d’euros selon la Commission) pourrait servir à protéger l’emploi et les services publics, ainsi qu’à tenir les engagements européens de lutte contre la pauvreté et le réchauffement climatique.

Aussi j’ai signé la lettre ouverte initiée par plusieurs associations comme Attac, Greenpeace ou les Amis de la Terre demandant à François Hollande de ne pas céder aux pressions du lobby financier et j’invite chacun à faire de même : https://france.attac.org/se-mobiliser/taxer-les-transactions-financieres/article/envoyez-la-lettre-ouverte.

 

 

Une antenne de 30 mètres de haut rue de la Fosse-aux-Moines ?

Depuis quelques jours circule une pétition parmi les habitants du quartier de la Fosse-aux-Moines, protestant contre le projet d’installation, par Free Mobile, d’une antenne de 30 mètres de haut au numéro 37 de la rue.

Trente mètres de haut, outre son caractère inesthétique, on peut imaginer que la puissance d’émission de cette antenne sera en conséquence, de quoi nourrir légitimement les inquiétudes des riverains. Mais le maire de Soisy, à qui sera porté cette pétition, aura-t-il la volonté de trouver les moyens de s’opposer à cette installation ? Rien n’est moins sûr.

Puisqu’il semble que notre société d’aujourd’hui ne peut se passer de téléphonie mobile et que nous sommes à un mois des élections municipales, il n’est peut-être pas inutile de rappeler que EELV est le seul grand parti à suivre les préconisations de l’association Robin des Toits d’une intensité maximale d’exposition à 0,6 V/m et donc l’installation de micro-antennes. Il n’y a aucun obstacle technique, c’est juste que ça revient plus cher aux sociétés de téléphonie mobile.

Les pétitions ponctuelles c’est bien et j’ai signé celle-ci. Mais, au moment où l’on va engager l’avenir pour plusieurs années, cela peut être utile de dire avec son bulletin de vote que l’on préfère la santé des humains aux profits des sociétés…

 

L’endormissement mortifère des mandats qui se succèdent

Même si nul n’en doutait, dans un tract distribué cette semaine Luc Strehaiano nous annonce qu’il sera candidat à sa succession pour un 4e mandat de maire. Le tract est sobre, bien écrit, et réussit le tour de force de ne rien dire de concret, et même de ne rien dire du tout. Rien que des phrases bien tournées destinées à bercer les électeurs.

Avec quand même quelques mensonges qui ne dérangent que ceux pour qui le mot « engagement » veut dire quelque chose, puisque par exemple l’engagement de construction de centre culturel du candidat Strehaiano de 1995 n’a été tenu ni au cours du 1er mandat, ni du 2e, ni du 3e…

Mais le plus grave ne serait presque pas là — ce qui est fait est fait et ce qui n’a pas été fait n’a pas été fait… Le plus grave est que M. Strehaiano nous propose de continuer comme avant alors que cela fait 20 ans que M. Strehaiano a 20 ans de retard sur les problèmes de notre temps, quand l’accélération de la marche du monde nécessiterait d’avoir 20 ans d’avance : et ceci aussi bien en matière financière où son incapacité à anticiper l’inévitable éclatement de la bulle des subprimes l’a conduit à souscrire en 2009 un emprunt toxique de 4 millions d’euros, qu’en matière écologique où Soisy est en queue de peloton parmi le groupe des communes franciliennes qui n’est pourtant pas lui-même à la pointe.

Ce n’est certes pas M. Strehaiano qui a créé le gouffre qui s’annonce devant nous. Mais, tout ce qu’il nous propose, c’est de nous tenir la main pour nous y emmener plus sûrement… Il est temps de changer de guide !

 

L’art (dangereux) d’élever le fait divers en problème politique

Les derniers propos relevés sur le site de la liste Soisy pour Tous, décrivant une «démocratie « about » de souffle » à Soisy, seraient risibles s’ils ne révélaient pas un inquiétant niveau d’analyse politique. Les petites guéguerres entre colleurs d’affiches de camps opposés ont toujours existé, et pour ma part cela fait longtemps que j’ai renoncé à m’y livrer : d’abord pour cesser de gâcher du papier et de l’énergie, et ensuite parce que ce n’est jamais ainsi que l’on fait connaître les idées que l’on défend.

Mais, quand on veut imposer son image sur les murs de la ville comme l’a fait le Parti socialiste ces dernières semaines, il faut accepter le risque d’être recouvert ou décollé, c’est la règle de ce jeu un peu stupide. Qualifier ces méthodes de « peu démocratiques », c’est faire rentrer la démocratie dans un champ d’appréciation où elle n’a rien à faire alors que les dangers qui guettent la démocratie — et il y en a aujourd’hui — ne sont assurément pas là.

Faire tant de bruit autour de choses aussi banales montre une déformation dans la perception des choses qui ne rassure pas sur les capacités des auteurs. Une manière de détourner le débat ? Parce que, en matière de pratiques démocratiques, ceux qui utilisent aujourd’hui le nom de « Soisy pour Tous » ne sont vraiment pas en situation de donner des leçons.

 

Oui, les Soiséennes et les Soiséens auront un réel choix pour les élections municipales !

L’offre qui se profile pour ces élections municipales n’étant guère satisfaisante, le groupe Europe Ecologie Les Verts de Soisy a décidé, avec de nombreux Soiséennes et Soiséens, de présenter une liste qui soit une réelle alternative — tant dans ses projets concrets que dans ses modes de fonctionnement — aux programmes des professionnels de la politique.

Quand les citoyennes et les citoyens décident de s’occuper eux-mêmes de leurs affaires, cela fait naître des projets comme :
— Valorisation des emprises de l’Avenue du Parisis qui aura été définitivement abandonnée tout en aménageant l’avenue Kellermann et ses abords afin de fluidifier la circulation.
— Conception des nouveaux projets urbains en fonction des piétons ; création d’un véritable réseau cyclable ; développement des transports collectifs en particulier le soir et aux heures creuses.
— Remplacement de la taxe ordures ménagères par une redevance incitative ; instauration d’une collecte séparative des déchets verts en vue de leur méthanisation.
— Introduction du « bio » dans la restauration municipale (scolaire et portage à domicile).
— Instauration d’un quotient familial équilibré.
— Création de comités de quartier, avec un collège « jeunes », dotés d’un budget ; création d’un conseil des associations.
— Développement de l’accès à la culture et facilitation de la mixité générationnelle et inter-quartiers.
— Retour à l’emploi de personnel municipal pour l’entretien du patrimoine municipal ; introduction de critères écologiques et sociaux dans la passation des marchés publics.
— Arrêt des investissements pour la vidéosurveillance, développement de la police de proximité.

Tous ces thèmes seront évidemment explicités et développés au cours de la campagne. La liste a été baptisée Soisy Alternative et Solidaire et, outre Europe Ecologie Les Verts, elle a d’ores et déjà reçu le soutien du Front de Gauche.

Le bon équilibre entre impôts locaux et prestations municipales

Même si elle n’a aucun droit moral sur l’appellation « Soisy pour Tous » et qu’elle cache son appartenance au Parti socialiste, sans doute Laura Bérot sera-t-elle classée à gauche par les observateurs en raison de son opposition à Luc Strehaiano.

Pourtant, si on essaye d’en juger de par sa déclaration de candidature, passé les habituelles phrases passe-partout sans contenu concret, on est quand même un peu surpris de trouver parmi ses propositions un leitmotiv que ne cesse de nous assener la droite depuis des années : la baisse des impôts.

Certes, comme je l’ai moi-même relevé avant que les socialistes s’en aperçoivent et quoi qu’en dise Luc Strehaiano, à Soisy les impôts locaux sont élevés et l’équilibre entre impôt foncier et taxe d’habitation n’est pas satisfaisant. Mais outre le fait qu’il est complètement irresponsable de promettre une baisse d’impôt alors qu’aucun conseiller municipal d’opposition ne peut connaître la réalité de la situation financière de la ville de Soisy, il est pour le moins choquant de coller ainsi aux revendications de la droite.

C’est oublier que l’impôt a pour fonction d’être redistributif et, plutôt que ce genre de promesse démagogique, il serait plus digne d’établir un véritable plan d’égalité des chances en permettant par exemple un réel accès démocratique à l’école de musique et aux activités culturelles en général.

 

 

 

Principales interventions au conseil municipal lors du mandat 2008-2014

Il fut un temps où les procès-verbaux des séances du conseil municipal étaient affichés sur les panneaux d’affichage administratif de la ville. Luc Strehaiano ayant mis fin à ce bel usage démocratique il y a déjà fort longtemps, j’indique ci-dessous les principales interventions que j’ai faites au conseil municipal ces dernières années. J’invite les autres candidats à la mairie à faire de même, afin que les citoyens puissent juger sur pièces si les propositions de chacun pour le futur sont à la hauteur et en cohérence avec leur action passée.

15 mars 2008. — Commentaire sur les élections qui viennent de se dérouler : CM 0803a

27 mars 2008. — Intervention sur la représentation des minorités dans les syndicats intercommunaux et à la communauté d’agglomération : CM 0803b

10 avril 2008. — Désignations dans des syndicats ; subventions aux associations ; dotation générale d’équipement : CM 0804

12 juin 2008. — Avis sur l’enquête publique concernant la création d’un centre commercial à Monsoult : CM 0806

10 juillet 2008. — Approbation du règlement intérieur du conseil municipal : CM 0807

9 octobre 2008. — Transfert à la Cavam de la compétence en matière d’accueil des gens du voyage ; Délibération contre les vols de nuit ; Liste des emplois ouvrant droit à logement : CM 0810

27 novembre 2008. — Approbation du bail avec Valestis  ; Mise en œuvre du Schéma directeur de la région Ile-de-France (SDRIF) : CM 0811

18 décembre 2008. — Indemnité de dédit pour l’immeuble 2 rue Carnot : CM 0812

12 février 2009. — Rapport de la commission locale d’évaluation des transferts de charge de la Cavam : CM 0902p1

14 mai 2009. — Charte des maires pour l’environnement : CM 0905

25 juin 2009. — Plan quinquennal 2009-2013 : CM 0906

8 octobre 2009. — Aménagement d’un abri sécurisé pour vélos ; Bibliothèque municipale : CM CM 0910

12 novembre 2009. — Proposition d’approbation de l’appel « Ultimatum climatique » dans le cadre de la conférence de Copenhague : CM 0911

20 mai 2010. — Approbation du précédent procès-verbal : CM 1005

24 juin 2010. — Extension du réseau de vidéosurveillance : CM 1006

7 octobre 2010. — Tarification de l’espace jeux du centre social des Campanules : CM 1010

16 décembre 2010. — Débat sur le réseau de transport public du Grand Paris : CM 1012

24 mars 2011. — Cession d’une maison sise 26 rue Blanche : CM 1103

19 mai 2011. — Réforme des collectivités territoriales imposant aux communes d’appartenir à des communautés d’agglomération : CM 1105

23 juin 2011. — Projet de schéma départemental de coopération intercommunale : CM 1106

3 novembre 2011. — Débat d’orientation budgétaire ; Travaux de sécurisation de copropriétés soiséennes ; Souscription d’un emprunt toxique par la ville de Soisy : CM 1111

15 décembre 2011. — Bail emphytéotique avec La Sablière pour l’aménagement de places de stationnement : CM 1112

29 mars 2012. — Contractualisation avec le conseil général ; Loi relative à la majoration des droits à construire ; Résidentialisation des Noëls : CM 1203

10 mai 2012. — Pétition signée massivement par les habitants du quartier des Noëls pour garder leur adresse actuelle : CM 1205

28 juin 2012. — Approbation du précédent procès-verbal ; Installation de répéteurs pour le télérelevé des compteurs d’eau ; Fourniture de denrées alimentaires pour la restauration municipale ; Convention de mise à disposition du personnel de la police municipale : CM 1206

13 septembre 2012. — Résidentialisation des Noëls : CM 1209

8 novembre 2012. — Convention partenariale avec la SNCF et AMI Services : CM 1211

20 décembre 2012. — Avis sur le projet du conseil général pour l’Avenue du Parisis : CM 1212

7 février 2013. — Plan départemental de développement de la lecture : CM 1302

16 mai 2013. — Travaux de requalification du boulevard d’Andilly : CM 1305

27 juin 2013. — Révision du plan de gêne sonore ; Mise à disposition du gymnase communal Descartes : CM 1306

19 septembre 2013. — Mise en sécurité du rond-point Schweitzer : CM 1309

7 novembre 2013. — Avis sur le projet de décret portant création de cantons : CM 1311

12 décembre 2013. — Prix du marché d’approvisionnement : CM 1312

13 mars 2014. — Débat d’orientations budgétaires : CM 1403

Tribunes publiées dans le journal municipal « Soisy Magazine »

A Soisy comme dans toutes les autres villes, les conseillers municipaux minoritaires ont droit à une expression minimale dans la presse municipale. L’opposition a été injustement interdite d’expression dans le mensuel Soisy Infos mais a malgré tout pu publier une tribune dans Soisy Magazine qui paraît une ou deux fois par an. Ci-dessous celles que j’ai écrites entre 2008 et 2012 en tant que président du groupe « Soisy pour Tous » au conseil municipal.

Soisy Mag déc. 2008     Soisy Mag juin 2009     Soisy Mag déc. 2009

Soisy Mag juillet 2010     Soisy Mag déc. 2010     Soisy Mag mai 2011

Soisy Mag déc. 2011     Soisy Mag sept. 2012

De nouveau « la lettre de Soisy pour Tous » disponible !

Ceux qui tiennent actuellement les rênes de l’association Soisy pour Tous pratiquent sans vergogne la retouche de photos et l’effacement des archives dans la plus belle tradition d’un certain Joseph Staline. La connaissance des documents historiques étant une des conditions indispensables à la formation d’une opinion politique, je mets à disposition sur mon site les numéros de la Lettre de Soisy pour Tous publiés entre 2008 et 2012, à partir des documents originaux.

Lettre SPT n° 1               Lettre SPT n° 2               Lettre SPT n° 3

Lettre SPT n° 4               Lettre SPT n° 5               Lettre SPT n° 6

Lettre SPT n° 7               Lettre SPT n° 8 g